Evit mont pelloc’h

Les mutations dites spirantes concernent K, P et T. Après le possessif MA (mon, ma, mes), ces consonnes deviennent respectivement C’H, F et Z en breton écrit. En breton parlé, deux variantes s’entendent suivant les secteurs : la plus ancienne avec comme résultats [x] (un /h/ dur), [f] et [s]. Mais beaucoup plus largement, on entendra une version adoucie : [h] (un /h/ doux), [v] et [z]. Pour moins que cela, certains diraient que ce n’est pas le même breton.
Hizivadur ziwezhañ :eil a viz Mezheven
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